Poison de Champignon - Fait attention à la délicatesse du champignon, ou tu le regrettera

p s y c h o l o g i e •
" J'ai souvent besoin d'air, d'espace, de solitude.  Mes sentiments n'arrêtaient pas de grandir, de m'embêter, de sortir en larme.  Je les avaient bien cachés aux yeux des autres, jusqu'à toi ..."

Nuage de Champignon est une apprentie fier et loyale.  Laissant voir aux yeux de tous, quelqu'un de responsables, dévouer et sociable.  Mais, pour tant, elle porte un grand fardeau sur ses épaules, ses émotions.  Se nourrissant d'elle, chaque jour une larme tombe signifiant qu'elle grandissait, aussi vite qu'elle était née.  Devait-t-elle le prendre pour la l'incarnation de la douleur ?  Il y a ceux pour qui la douleur est intense.  Il y a ceux à qui elle fait extrêmement mal, elle détruit, elle pourri... Elle pourrai faire parti de ceux-là, seulement...  Elle n'en fait parti ; restant au fond d'elle même, coriace, ne voulant pas s'échapper, elle l'embête.  Parfois, Nuage de Champignon cri en espérant qu'elle sorte avec le son qu'elle émets.  Parfois, elle reste silencieuse, en attendant qu'elle s'épuise, qu'elle s'affaiblisse, puis qu'elle s'éteigne.  Douleur.  Alors, Nuage de Champignon décida  de la renier, décidé de la haïr tellement fort jusqu'à ce qu'elle ait honte de continuer à se cramponner à elle pour l'empêcher d'être heureuse, et qu'elle décide seule, de s'enfuir.  S'enfuir loin, très loin.  Elle la regarde de haut, tout simplement, la rabaissant, après tout pourquoi la dominerait-elle ?

p h y s i q u e •
" Je ne suis pas belle, arrêter de m'harceler avec cela.  On me la assez répéter pendant mon enfance, je ne me mérite pas. "

Les feuilles tombent.  Elle se camouflait bien dans ce paysage d'automne.  Son regard insistant captive, mais on ignore à quoi elle pense.  Elle a apprit à empêcher son regard d'en dire trop, puisqu'on dit que « les yeux sont le miroir de l'âme ».  Possédant un pelage neige au qu'elle des feuilles y sont restés accrochés, d'une couleurs extravagante, doré et noir.  Aussi blanche que les nuages d'été, aussi pâle que la lumière du petit matin.  Le blanc lavé de tout péché, le blanc de l'oubli.  Alors que ces deux feuilles, représente les deux cotés de la vie.  L'une dorée, celle de la résons, de la détermination, mais également de la bienveillance et de l'amitié.  L'autre noir, décrivant la peur, l'égoïsme, aussi la haine et l'envie de vengeance.  Deux taches qui sont séparer par la colombe de la paix. Lorsqu'elle se déplace, elle avance si doucement et si silencieusement qu'on croirait apercevoir une somnambule.  Elle est donc une bonne traqueuse.  Sa démarche est souple et gracieuse.  On peut voir ses muscles et elle semble très bien entraînée malgré la fine, très fine apparence que Dame Nature a prit soin de lui dessiner.  Elle a une allure à la fois royale et combattante.  C'est une demoiselle aux grandes pattes, svelte et agile, et elle excelle à la course.  Si elle se sent menacée, elle n'hésitera pas à utiliser cette option pour poursuivre un ennemi.  Elle use d'ailleurs d'une grande vivacité lors d'un combat.  Avec son pelage mi-long et soyeux, il ne lui est facile pas de nager rapidement.  Son visage possède des traits tristes et quelque peu enfantins.  Ses grand yeux verts son associer à l'espoir et la chance.  En plongeant votre regard au cœur de ses pupilles, même si vous parviendrez mal à discerner ce qu'elle ressent, vous saurez toutefois qu'elle possède un respect inouï.  Elle est blanche tacheté de dorée et de noir, et a de petite tache d'un blanc laiteux parsemée autour du museau, qui ne se voient que si vous êtes tout près d'elle.  Lorsqu'elle passe devant vous, elle exhale un doux parfum de fraîcheur et d'épines de pins.  C'est une charmeuse-née -son sourire est renversant et le vert de ses yeux est ardent- mais elle ne prend pas conscience de ses atouts féminins.

h i s t o i r e •
"J'ai sentit un corps, me collant prêt de moi d'un liquide visqueux.  Il était froid, et ne bougeait pas.  Pourquoi ?

C'était lors d'une nuit d'été.  La nuit était belle, elle était claire.  Caressant la partie la plus légèrement le feuillage des arbres , le vent chaud commencer à se refroidir.  Ces deux âmes auraient pu s'amuser à compter les étoiles, à y retourner les constellations.  Ils auraient pu s'allonger sur les plaines ou aucun des vent de soufflait et profiter de la beauté de l'autre sous clair de lune.  Mais non, ses deux solitaires ont plutôt passé la nuit dans la grange. Il y faisait chaud et une odeur lactée flottait dans l'air humide.  Le mâle tentait de réconforter sa femelle, légèrement nerveux à l'idée de devenir père dans les instants qui suivraient.  La futur mère, quand à elle, essayer du mieux que possible de garder son calme dans se mouvement de panique.  Par chance, la mise à bas s'était bien déroulée et deux chatons naquirent, gigotant dans tous les sens.  Mais l'un d'entre eux mourut à la naissance, attristant le cœur des parents.  La survivante, inconsciente de la perte de son frère, vivait ses premières secondes de vie, elle se nommait Champignon.

QUATRE LUNES ; DEBUT DE LA SAISON DES FEUILLES MORTES.
«  J'ai toujours voulut savoir se qui se trouvait derrière cette rempare de bois.  Papa et maman m'avait interdit de la passait, que c'était dangereux.  Y a t-il quelque chose de plus dangereux dans cette forêt que des chiens de bipèdes ? »

C'était la première fois qu'elle voyait des feuilles tombaient des arbres. Elle avait toujours penser qu'ils étaient collés à l'être qui leur était cher, peut-être qu'eux aussi on une durer de vie, on-t-il connus les temps ancien de cette forêt ? Les oiseau picorer les dernière cerise du cerisier du jardin. Les bipèdes avaient beau mettre des objets éblouissants, ils arrivaient toujours à leur fin. Champignons avait toujours rêver d'être un oiseau, voler ou le vent te porte, sans frontière. Tout le contraire de sa vie à la grange. Ses parents la gardais à l'oeil, et ne devait sans aucune autorisation franchir la barrière de bois qui donnait sur les champs. Seul son père le pouvait. Il prétendait qu'une colonie de rat s'y était installait et que c'était beaucoup trop dangereux pour elle, et sa pauvre mère malade. Ils savaient déjà comment sa aller finir. Rien ne pouvait la guérir de cette étrange maladie, elle allait donc finir sa vie dans un coin sombre de la grange. Et pour rajoutait le tout, les bipèdes résidant à coter de la grange avait ramener de chien qui n'arrêtait d'aboyer matin et soir. Impossible de passer une nuit sans au moins se réveiller une fois dans la nuit, Champignon avait beau se cacher les oreilles sous ses petites pattes de chaton, elle entendais toujours. Et à cause de ses chiens, même les ballades dans les jardins était devenue dangereux, laissant ses féroces animaux en liberté quand sa leur chante.