Le Tombeau des Lucioles.

Prologue :

 Le clair de lune brillait d'un reflet bleuté. Un chemin de pierre lise, luisant sous le clair de lune,  parcourait cette forêt particulière. Les arbres qui gardaient secret ce paysage de rêve sont d'une hauteur si haut que l'on ne vois le bout de leur cimes, comportant de larges troncs sombre dont la mousse s'était répandue il y a de nombreuses années. Les herbes hautes portent des fleurs d'une multitudes de couleurs, un champ arc-en-ciel. Un léger vent s'était infiltré dans la forêt, envolant les pétales blancs de pissenlits flottants aux dessus du chemin. De petits points lumineux s'envolèrent vers le ciel, aussi brillant que les constellations. Eclairant leur passage comme une étoile filante dans le néant. Ils s'amusèrent à zigzaguer entre les arbres, s'emportant dans le bal des fleurs. Les petites étoiles entreprirent de sortir de se monde magique. A chaque villages qu'ils rencontrèrent, les lumières se séparèrent pour regarder toutes les fenêtres. Au pied d'une montagne rocheuse, un petit village se dessina entre les champs de blés dorées éclairer par le reflet de la lune. Parcourant les étroits quartiers  sombre, les étoiles s'arrêtèrent sur le visage d'une jeune fille endormis dans un lit de bois. La fenêtre légèrement ouverte, ils entrèrent dans la petite chambre d'enfant, illuminé par le nombre incroyable de points lumineux. La jeune fille se réveilla par le trop de luminosités, et fut surprise en voyant les étoiles dans sa chambres. Elle ne put crier, contemplant leur beautés. Ils devaient être mille, même plus. Se rassemblant entre eux, une lumière aveuglante leur permis de s'entre mêler, se transformant en une sphère doré. La jeune fille ferma lentement les yeux, laissant la lumière venir en elle.

Chapitre 1 :

 Les premières lueurs de l'aube franchirent la fenêtre entre-ouverte. Une jeune fille dormait à point fermer dans son lit. Cachait sous des draps blanc gesticulant dans tous les sens, elle se réveilla avec sursaut. Ses cheveux décoiffer, elle sortit de son lit encore somnolant. Portant un pyjama blanc à deux pièces, la petite fille se dirigea vers son vieux bureau. Il était grand en bois, auquel était accrocher au dessus un miroir ovale. Se regardant dedans, elle y voyer une jeune fille de 10 ans, au légère petite joue rose, des belles lèvres et des yeux bleu brillant, mélanger d'une couleur grise et verte. Sa peau est aussi blanche que le lait, dont le visage porte quelques taches de rousseurs. Et prit dans sa petite main une brosse au qu'elle est s'empressa de démêlait ses cheveux brun châtain, aux reflets dorés. Une fois fini, elle s'empressa de sortir de sa chambre avec encore des coins sombre. Descendant les escaliers à toute vitesse, sa mère était déjà réveiller, et n'aller pas tarder à partir au travail. La mère était élancer, les cheveux noir toujours en chignon bas sur le coter droit et des yeux brun. L'enfant s'installa sur le vieux canapé rouge, possédant quelques tâches et une couverture cousu à la main.

« Bonjour maman ! Lança-t-elle de sa petite voix.
-Bonjour Eloïse, bien dormi ? Demanda sa mère.
-J'ai fait un rêve étrange.
-De quoi parlait-il ?
-Je sais pas trop, il y avait des étoiles descendue du ciel dans ma chambre.
-Des étoiles dans ta chambre ? Tu as fait un bien drôle de rêve ma chérie ! S'exclama la femme. Vient maintenant à table, ton petit déjeuner est près. »

Eloïse rejoignit la table ronde, situer au centre du salon. Son bol noir était déjà installé, dont de la fumée en dégager. Sa mère semblait se dépêcher à partir travailler, étant institutrice dans la seule école du village. Eloïse ne pouvait s'y inscrire car le maire prétendait qu'elle pourrait lui modifier ses résultats pour les examens de fin d'années, elle fut donc obliger de faire des études à domicile.

Devant le placard ouvert de sa chambre, ou les vêtement ne manquait pas, la jeune enfant sembla réfléchir sur quoi elle allait porter aujourd'hui. Passant un léger coup d'oeil vers la fenêtre, le ciel était d'un bleu azur profond dont de petits nuages laiteux semblait filer à toute allure, entraîner par le vent frais de la matinée. Elle opta donc pour une robe légère, à la proportion large pour la laisser librement de ses mouvements, sans manche, d'un blanc pur contenant plusieurs coquelicots laissant ressortir la couleur ses yeux.

Une fois changer, Eloïse dévala de nouveau les escaliers ou à la place de sa mère un mot lui était adressée.



Elle poussa un long soupire, Toujours obliger d'en faire une tonne, se dit-elle. Reposant la lettre ou elle l'avait trouver, la jeune fille alla chercher quelques livres dans la bibliothèque, espérant l'occuper un moment. Mais après avoir fait le tour des livres, elle se rendit compte qu'elle les avaient déjà tous lus, et relus, et relus … Une envie soudaine fut d'aller lire le livre que sa mère lui avait bien interdit. Elle ne savait pas pourquoi mais une voix mystérieuse lui chuchoter qu'il le fallait, que c'était important. Retirant délicatement le vieux livre poussiéreux, elle ne prit pas même le temps de s'installer qu'elle avait déjà commencer à le déchiffrer. Rien n'était passionnant, se livre semblait retenir de vieilles mythologies. Mais son cœur s'arrêta de battre, elle fit tomber le livre par terre est les feuilles s'étalèrent au sol. Cela lui était égale, son regard ne bougea pas, figer au sol, elle trembla de peur.

© Toad